EST-IL POSSIBLE D’ÊTRE HEUREUX PENDANT LA PANDÉMIE DE COVID-19 ?

Une situation stressante

Des gens meurent encore du Covid-19. Nous avions la variante Delta et maintenant Mu, et nous ne savons pas de quoi sera fait demain. Beaucoup d’entre nous sont à bout de nerfs, quelle que soit notre religion. L’on s’inquiète pour demain. Les batailles sur le port du masque vont bon train et continuent de diviser.

Il est temps de nous adapter au nouveau mode de vie induit par le virus et d’avancer prudemment dans nos vies.

Personne n’est fan des vaccins ; il semble que nous n’ayons pas le choix.

À la Fondation Dr. Ghoulem Berrah, nous pleurons la perte de notre ami bien-aimé Clovis qui est décédé la semaine dernière du Covid. Il a refusé sans relâche le vaccin pendant que ses enfants et sa femme étaient vaccinés. C’est bien triste. Il a laissé un grand vide dans sa famille et dans le coeur ses amis. Ami gentil et attentionné, mari et père dévoué, il travaillait 70 heures par semaine pour subvenir aux besoins de sa famille. Il voulait s’assurer que ses enfants pourraient aller à l’université. Il est venu du Brésil pour vivre le rêve américain. Il va nous manquer terriblement.

Certains attendent la fin de la pandémie pour exécuter leurs plans.

N’est-il pas plus sage d’avoir des plans moins ambitieux et pouvoir les mettre en œuvre ?

Par exemple, deux charmants jeunes gens envisageaient de se marier et attendaient d’organiser leur mariage à la fin de la pandémie.

Au lieu d’attendre, ils pourraient plutôt réduire considérablement le nombre de leurs invités de 200 à 20 et se réjouir d’une nouvelle vie. Trouver dans la joie un nouveau départ est essentiel.

Nombre de nos amis que nous n’avons pas vus depuis le début de la pandémie, nous manquent.

Il est peut-être temps de renouer avec eux avec prudence et de profiter de moments de qualité.

Le même dilemme se pose pour les membres de la famille qui vivent hors de la ville.

Zoom est un apport technologique important dans nos vies mais ne peut pas remplacer les réunions de famille en personne.

C’est un chemin étroit, mais le seul chemin. Essayons de l’embrasser avec joie et de recommencer à être heureux.

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